OCTAVE NOIRE

Retenez bien le nom d’Octave Noire, le nouveau projet de Patrick Moriceau, qui ne vous laissera indifférent.
Derrière ce nom, on retrouve des octaves et des noires comme sur un piano, l’instrument guide de cet artiste, à partir duquel sont nées les mélodies féeriques et capiteuses de son premier album Néon.
Pour comprendre Octave Noire, il faut revenir à ces origines. C’est d’abord l’Afrique, notamment la Côte d’Ivoire, où il a passé les dix premières années de sa vie, qui l’éveille à la musique. Tout naturellement, sa musique a longtemps puisé à cette source jusqu’à son premier album Néon, qui ne garde du continent qu’une empreinte légère. A l’écoute des neuf titres de cet album remarqué et largement salué par critique, on devine que ce garçon a tout absorbé, de la musique électronique vintage à la chanson pop en passant par les soundtracks seventies. Une tournée qui l’a mené des Transmusicales de Rennes au Paléo Festival en passant par Solidays, Art rock, Les Francofolies de la Rochelle, le Nancy Jazz, les Vieilles Charrues… Sa musique, une électro-pop ample et puissante, projette illico ses images au fond de nos cerveaux. Un univers ultra-évocateur qui engendre des atmosphères avec un naturel déconcertant. 
Octave Noire revient aujourd’hui avec un nouvel album « Monolithe », disponible le 14 février. Son écriture creuse le sillon pop-orchestral de Néon, conviant clavinet, moog, mellotron et basses lourdes, dans la lignée des grands arrangeurs français.  On retrouve la voix d’Octave Noire au velours grave, parfois presque parlée, l’exigence architecturale et les mélodies simples, sur un mélange électronique cinématographique dont lui seul a le secret.